02 décembre 2008

Livres : Ten Big Ones de Janet Evanovich (#49)

Je pensais venir ici pour bloguer sur mon 50e livre de l'année... mais j'avais oublié de bloguer le 49e. Shoot.

Quoi de mieux pour contrer la grisaille de l'automne et se distraire que de lire un Janet Evanovich? C'est toujours bon, toujours drôle, et ça ne dure pas deux semaines.

Dans Ten Big Ones, Stephanie trouve le moyen de détruire une voiture, de se balader dans le quartier le plus mal famé de Trenton et d'y rouler sur un membre important d'un gang de rue. L'habituel, quoi! Elle se retrouve donc dans la mire d'un tueur à gage, qui a juré de la tuer... dès qu'il aura tué les trois autres personnes dans sa liste. Ah oui, aussi elle quitte Morelli pour une niaiserie et trouve l'appartement de Ranger, où elle se cachera la nuit pendant presque deux semaines pour ne pas que le gang de rue fasse du mal à sa famille ou à Morelli.

Mes amies rient un peu de moi parce que je préfère Ranger à Morelli, mais ce livre était écrit pour moi. On ne voit pas souvent Ranger, mais il est présent presque chaque page.

Ce que je trouve étrange dans les livres de Janet Evanovich, c'est que ça finit toujours très rapidement, presque en queue de poisson. Le livre fait (toujours) un peu plus de 315 pages, mais il y a de l'action jusqu'à la dernière page. Pas de conclusion du genre "Stephanie retourne habiter chez Morelli", rien du tout. Stephanie s'en sort (huh, spoiler?) et paf!, c'est fini.

Aussi, quand Stephanie apprendra-t-elle à penser intelligemment? J'imagine qu'il n'y aurait plus d'histoires si elle le faisait, parce que le trois-quart de l'action montre Stephanie qui essaie de se sortir d'une de ses niaiseries. Mais faire sortir un méchant de prison pour le "torturer" et avoir des renseignements? Pas très intelligent. Évidemment, elle s'en sort toujours. J'imagine que c'est ce qui attire les foules, pas une femme super intelligente qui résout des énigmes grâce à son pouvoir de déduction...

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