19 août 2008

BD : Paul dans le métro de Michel Rabagliati

Depuis le début des Jeux olympiques de Beijing, je suis scotchée devant la télé plusieurs heures par jour, regardant avec émotion (je sais, j'ai été aussi surprise que vous) des athlètes couronner des années d'efforts par une médaille bien méritée. Ma passion pour les Olympiques date de ma plus tendre enfance, alors que je faisais semblant d'être malade (personne n'était dupe) pour pouvoir rester allongée sur le divan toute la journée à regarder les skieurs et patineurs pendant les jeux d'hiver.

C'est super de pouvoir regarder les Olympiques avec un enregistreur numérique, parce que je peux passer les bouts plates (soit 75 % de l'émission) et ne regarder que ce qui m'intéresse. Mais quand je rejoins la transmission et que je dois la regarder en temps réel sans pouvoir avancer, j'ai besoin de me distraire sinon, à 23 h les soirs de semaine, je m'endors en moins de temps qu'il n'en faut à René Pothier pour s'enflammer devant un score de Michael Phelps (que j'adore. Eh oui, je ramollis en vieillissant. Il y a quelques années, je l'aurais détesté parce que tout le monde en parle, mais à le voir ému aux larmes chaque fois qu'il reçoit une médaille, on ne peut que s'émouvoir).

Tout ça pour dire que les Olympiques m'ont permis de prendre le temps de lire la dernière BD de Michel Rabagliati que j'ai achetée, Paul dans le métro. Il s'agit d'un recueil de plusieurs petites histoires, toutes très drôles.

Chaque fois que je lis une BD de Michel Rabagliati, je recommence à avoir la fièvre du dessin et je retourne à mes cahiers. J'ai l'intention de prendre des cours de dessin offerts par l'arrondissement cet automne. J'espère que c'est le petit coup de pied qui va me faire prendre l'habitude de dessiner et me donner des idées.

Bref, j'adore les BD de Michel Rabagliati. Je n'arrive pas à me souvenir si j'ai acheté et lu Paul à la campagne. Je vais vérifier chez moi et je courrai l'acheter en vitesse si ce n'est pas le cas.

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