26 juin 2008

Livres : Et si c'était vrai de Marc Levy (#23)

Disclaimer : j'ai détesté ce livre et mes opinions à son sujet ne se reflètent pas sur les personnes qui l'ont aimé. Je vous aime quand même.

Bon, je sais que j'ai pris pas mal de retard dans mes rapports de lecture. Je me demandais pourquoi et je viens de m'en rendre compte : c'est à cause de ce livre. Je l'ai tellement détesté que je n'avais pas le goût de le raconter. Pourtant, le livre que j'ai lu ensuite est génial alors j'aurais dû avoir hâte d'en finir de celui-ci pour pouvoir en parler.

D'abord l'histoire : une jeune médecin (je ne me souviens même plus de son prénom! est-ce Lauren?) subi un accident de voiture qui la laisse dans le coma. Le jeune homme qui loue son appartement six mois plus tard, Arthur, découvre qu'elle est une sorte de fantôme qui peut se transporter où elle le souhaite tandis que son corps reste à l'hôpital, branché sur les machines. S'ensuit alors toute une "aventure" où Arthur essaie de la sauver alors que sa mère cède aux pressions des médecins qui veulent la débrancher.

J'ai souvent entendu parlé de Et si c'était vrai. Ils en ont fait un film (que je n'ai pas vu) et mes amies ont lu le livre. Ça faisait longtemps que je voulais le lire parce que je n'en avais entendu que du bien. Je l'ai donc acheté avant de partir en République Dominicaine et j'avais vraiment l'impression de faire un bon achat. Eh bien je l'ai absolument détesté. Dès le début. Horrible.

J'ai trouvé le style de Marc Levy lourd et épuisant. J'ai trouvé les situations forcées et les dialogues ampoulés et peu naturels. Je roulais des yeux toutes les deux ou trois pages à partir du début. J'avais littéralement envie de le jeter au bout de mes bras et je ne me suis retenue que parce que j'étais dans le métro. Finalement, comme il est très rare que j'arrête un livre sans le terminer et que je voulais tout de même qu'il compte dans mon défi, je l'ai fini à la diagonale pour connaître la fin sans me taper tous les dialogues pourris et les descriptions lourdes.

Bref, c'est un court livre qui m'a épuisé autant qu'un livre de 650 pages. Inutile de dire que je ne lirai pas les autres livres de M. Levy. Désolée.

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