22 avril 2007

Livres : Gods' Concubine (#15)

Me voici de retour de voyage. J'avais apporté avec moi quatre livres, soit Gods' Concubine de Sara Douglass, Le Zèbred'Alexandre Jardin, Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier et Le vide de Patrick Sénécal. Juste avant de partir, puisque je venais de terminer mon livre précédent, j’avais déjà commencé Gods’ Concubine, le deuxième tome de la série The Troy Game. Je l’avais choisi parce que j’aime beaucoup Sara Douglass, mais aussi parce que le livre est écrit petit et qu’il est quand même long à lire. J’y ai donc consacré quatre jours entiers. Au début, je lisais plus ou moins sur la plage et près de la piscine, mais bien vite, j’ai pris le rythme et j’ai lu plus chaque jour. Je me suis habituée à lire alors que plein de gens criaient et riaient autour de moi.

Dans ce tome, les personnages principaux du premier tome reviennent sous de nouvelles identités. Certains le savent, d’autres non. Cornelia et Coel, amants déchus du premier tome, reviennent comme frère et sœur très attirés l’un par l’autre, Caela et Harold, sans savoir qu’ils se sont tant aimés auparavant. Ils ne comprennent pas pourquoi, mais ils s’aiment. Genvissa et Brutus reviennent quant à eux en tant que Swanne, épouse de Harold, et William, duc normand visant à prendre le trône de Harold lorsque Edward, le mari de Caela, mourra enfin. Mais Asterion, le gros méchant du groupe, veille au grain et cherche à mettre la main sur les bandes qui lui permettront de devenir le maître du jeu à la place de Brutus/William.

Chaque fois que je termine un livre de Sara Douglass, je suis fascinée par la complexité de ses personnages. Elle ne fait pas des personnages à une seule dimension, qu’on déteste depuis le début ou qu’on aime toujours (sauf peut-être Asterion, mais ça c’est le gros méchant, ne l’oublions pas). Ses personnages ont des qualités et des défauts qui leurs sont propres et qui causent souvent leur propre perte. J’ai très hâte de lire le tome suivant, ce qui devra attendre quelques semaines, j’en ai bien peur. Ma fête arrive bientôt et je dois activer le moratoire sur les achats de livres qui peuvent m’être donnés en cadeau!

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