26 janvier 2006

Terminé : Le clan des Otori : Le silence du rossignol (# 2)

J'ai terminé ce livre hier midi. La fin est triste, et j'ai bien hâte de lire la suite. Malheureusement, la personne qui me l'a prêté est partie en vacances, alors je devrai attendre un peu. De toute façon, j'ai encore beaucoup d'autres livres à lire avant. J'aimerais bien terminé quelques uns d'entre eux avant d'en emprunter d'autres.

Ce qui est fascinant dans ce livre, c'est l'écriture, malgré le fait que ce soit une traduction. Chaque fois que je l'ouvrais, je me retrouvais carrément au Japon. Je me sentais entourée de paix et je ressentais un immense bien-être. Et pourtant ce n'est qu'un livre. L'écriture est simple, mais efficace. On se croirait vraiment au Japon.

Il s'agit de l'histoire de Takeo. Au début de l'histoire, il est Tomasu, jeune garçon d'environ 16 ans qui vit avec sa mère, son beau-père et ses soeurs. Un jour, il assiste en partie au massacre de son village et de son peuple, les Invisibles. Il rencontre alors un homme dont la cruauté n'a pas d'égal, Iida. Il lui échappe de justesse et est sauvé par Sire Shigeru, qui le prend sous son aile, le renomme Takeo, pour le sauver de son passé, et l'adopte. Mais Sire Shigeru ne l'a pas sauvé sans raison.

On suit également Kaege, jeune fille détenue en otage par la famille Nogechu. Elle n'est pas maîtresse de son destin et elle fait l'objet d'un mariage arrangé avec Sire Shigeru.

Les chapitres alternent entre ces deux personnages et nous entrons dans leur histoire d'amour très facilement.

Si vous aimez les histoires de samouraïs, ce livre est pour vous. C'est le premier d'une série de trois, je crois. La série est écrite par un Australien, Lian Hearn. Une histoire à découvrir. En tout cas, moi, j'ai très hâte de la continuer!

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